Le fait de signaler la présence de contrôleurs SNCF ou RATP via les réseaux sociaux sera-t-il bientôt passible d’une amende de 3 750 euros et de deux mois de prison ? C’est en tout cas ce que souhaitent plusieurs sénateurs au travers d’un amendement qui sera défendu cet après-midi au Palais du Luxembourg. Des sanctions identiques visant les utilisateurs de « mutuelles de fraudeurs » sont également prévues.
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